Soins si l’esprit peut guérir le corps ,
mais que le corps ne peut guérir l’esprit,
alors l’esprit doit être plus fort que le corps.
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Chapitre 7 : Les dons du royaume, 

 IV. La guérison comme re-connaissance de la vérité

 Quand tu guéris, tu te souviens des lois de Dieu et 

 tu oublies les lois de l’ego.

LEÇON 108,

Donner et recevoir ne font qu’un en vérité.
Voilà la lumière qui ne montre pas d’opposés, et la vision, étant guérie, a le pouvoir de guérir. Voilà la lumière qui apporte ta paix d’esprit à d’autres esprits, pour la partager en se réjouissant de ne faire qu’un avec toi et avec eux-mêmes. Voilà la lumière qui guérit parce qu’elle apporte une perception indivisée, basée sur un seul cadre de référence, d’où vient une seule signification.

C’est la puissance de Dieu qui engendre les miracles et non toi.
Tu as fait des miracles mais il est bien évident que tu ne les pas fait seul.
Tu as réussi chaque fois que tu as rejoint un autre esprit et t’es joint à lui.
Un thérapeute ne guérit pas, il laisse la guérison se faire.

Nous ne devons pas oublier notre seule fonction qui consiste à être de bonne volonté pour que le travail parfait soit fait à travers nous.

C’est pourquoi nous n’aidons pas vraiment et personne ne guéri personne.
Nous ne faisons qu’observer des guérisons qui prenne place dans le temps.
Néanmoins ces guérisons ont besoin de nous pour se produire dans le temps.

Etre de bonne volonté est la seule étape qui soit, bien que notre état de bonne volonté devienne davantage permanent étape par étape.

La guérison suppose une compréhension de ce à quoi sert la maladie. La guérison est impossible sans cela.

La guérison est accomplie dès l’instant que celui qui souffre ne voit plus aucune valeur dans la douleur.

La guérison doit se produire dans l’exacte proportion où le manque de valeur de la maladie est reconnu.

Quelqu’un à seulement besoin de dire :
“Il n’y a aucun gain pour moi en ceci”

Mais pour dire cela, il faut d’abord reconnaître certains faits.
D’abord il est évident que les décisions sont de l’esprit et non du corps.
si la maladie n’est qu’une approche erronée en résolution des problèmes, c’est une décision.

La résistance est énorme qui empêche de reconnaître cela, parce que l’existence du monde tel que tu le perçois dépend de ce que le corps soit décideur.

Il faut comprendre que mon frère est perfection et n’a besoin de rien. C’est la seule manière pour moi de répondre avec de l’amour à sa demande d’amour c’est la seule manière d’aider vraiment. Cela se produit lorsque je comprends que je n’ai rien à faire sinon être.

Comment puis je reconnaître que mon frère est amour total ? Je ne peux le reconnaître qu’en le bénissant, en lui offrant silencieusement un amour entier et en demandant à l’Esprit en moi de me montrer la perfection de ce frère.

Les miracles sont naturels. Souvent, ils semblent accomplis par un enseignant mais ils n’ont rien à voir avec l’enseignant lui même. Nous pensions qu’ils avaient un pouvoir que nous n’avions pas. A présent le temps est venu de reconnaître qu’un miracle n’est que l’effet d’une union. Cette union se fait entre deux qui sont égaux en vérité.

Le guérisseur qui se fie à sa propre capacité d’être prêt met en péril sa compréhension.
Tu es en parfaite sécurité aussi longtemps que tu ne te soucies pas du tout d’être prêt, mais continues d’avoir conscience en Moi qui le suis.
Toute forme de non justesse d’esprit résulte de ton refus d’accepter,  la non réalité du péché et de la culpabilité.
La seule responsabilité du faiseur de miracles est d’accepter, la non réalité du péché et de la culpabilité pour lui même.

De chacun de ceux à qui tu accordes la délivrance de la non culpabilité, tu apprendras inévitablement ton innocence.

 

La maladie et La vérité ne peut être qu’expérimentée. 

Elle ne peut être ni décrite ni expliquée.